Millicent. Krähe Millicent...

Krähe Millicent
«Je me nourris du sang des autres pour abreuver mon corps...»

CARTE D’IDENTITÉ

Prénom:Krähe
Nom:Millicent
Âge:17 ans
Sexe:Féminin
Métier:Internée en HP, permission de sortie fréquente.

Signes particuliers: Ses yeux et sa peau.
Animal de compagnie: Aucun.

___________________________

Apparence:
Krähe. Grande et maigre. Elle déteste la nourriture de l'hôpital ceci explique peut-être cela mais d'après certaine personne elle à toujours était comme ça. Puis viens sa peau autre détail étrange dans se portrait si peu banal. Une peau presque blanche tellement elle est claire. Notre demoiselle déteste le soleil. Puis se sont ses cheveux, long et négligé d'un blond très clair. Si elle en prenais plus soin il serrais magnifique. Mais elle, elle les aime comme ça et qu'importe les remarques blessantes des infirmiers, des psychologues et des autres patients de l'hôpital. Et ses mains. Des mains au doigts anormalement longs et fins orné d'ongles long. Elles en on fasciné plus d'un par leur finesse et leurs habilité. Elles est capable de tout avec ses doigts et leurs souplesse fait parfois peur. Mais ceci n'est pas le plus étrange le plus étrange ce sont ses yeux qu'elle porte si fièrement. Des iris sanglant qui rappelle étrangement le rouge sanguin qui jailli d'une gorge tranché. Cette magnifique couleurs laisse place à ses pupilles d'une noir corbeau. Des yeux fascinant et terrible.
Sous son œil gauche elle s'est fait tatoué le symbole de l'infini. Symbole qu'elle représente partout pour une raison que tous ignore.
Ce qui est certain c'est que ses détail ne l'aide pas à passer inaperçu et ses tenues elles contrastent avec le peu de banalité de son corps. un vieux jean et une chemise rouge ou blanche lui suffisent amplement. Ce n'est pas rare que ses manches ou le bas de ses chemises sois en lambeau. Mais c'est comme ça qu'elle aime les porter.
Peut-être un dernier détail avant que je vous laisse repartir. Son visage cache certaine chose. Notamment au niveau de son sourire. Si celui ci deviens carnassier méfiez vous ou fuyez.

Personnalité:
Krähe vit hors du temps. Jamais elle ne pourras vous fournir la date ou l'heure ni même l'année. Premier détail étrange.
Krähe aime rester seule. Autisme de niveau avancé.
Krähe est folle. Ceci est sur, tester scientifiquement enfermé peut-être et même certainement dans un Hôpital psychiatrique.
Krähe est est froide devant la mort, le sang ou toute sorte d'autre chose. On la qualifie de psychopathe.
Krähe est unique en son genre. Lunatique et changeante. Personne ne sais jamais ce que cache son regard de sang.
Krähe n'exprime rien. Pour elle passer des heures en silence est normal et lancer une phrase sans aucun rapport l'est tout autant.
Krähe déteste certaine chose. Le contact notamment. Elle ne supporte pas qu'on la touche et peux dès lors devenir vraiment agressive.
Krähe aime bien écrire mais elle aimerais bien que les hommes en blanc ne prennent pas ses textes pour les lires.
Krähe adorerais rencontrer un homme qui l'aimerais mais elle ne rencontre jamais personne.
Krähe est elle même et c'est déjà pas mal.

Extrait d'un texte découvert dans la chambre de Krähe Millicent le 12 avril 2002

Krähe Millicent a été interné en Hôpital Psychiatrique après une demande de ses parents en 2000. Ils sont arrivé avec certain dessin troublant. Plusieurs psychologues les ont analysé et en on déduis une forme d'autisme avancé, une forme de schizophrénie et autre trouble. Cette jeune fille à l'air d'être hanté par le symbole de l'infini car il était présent sur tous ses dessins. La plupart représente des scène de mort ou de torture d'une précision stupéfiante pour une enfant de son âge. Plusieurs psychologue demandèrent un entretient privé avec elle et en ressortir avec les même déductions que devant les dessins.

Extrait du rapport après que Krähe Millicent nous fut confier.

Histoire:
Je suis Krähe.
J'aime bien ce prénom. Avant que mes parents me laisse tomber dans cet Hôpital ma mère m'appelais mon corbeau noir car mon prénom veut dire corbeau en Allemand.
J'adore cet oiseau il me ressemble, c'est pour ça que j'aime ce prénom.
Je suis née un 24 décembre à minuit. Tout le monde me dit que je ne suis pas un cadeau.
Les 5 premières années de ma vie furent heureuse. Je vivais avec mon père, ma mère et un grand frère. Je l'aimais bien mon grand frère. Lui il m'appelais petite corneille.
Il était gentil et il jouait souvent avec moi.
Lui il venait parfois me voir même aujourd'hui il viens encore de temps en temps me voir. J'adore quand il est là. Même si c'est juste pour une ou deux heures. Ce sont des petits instant magiques qui remette du soleil dans mon horreur quotidienne.
Après mes cinq ans tout deviens flou. Je ne sais plus très bien, ni comment mais je me suis retrouver ici avec les psychologues et les hommes en blancs. les hommes en blancs ils me font peur. Il prennent tout mes textes et mes dessins alors j'essaye d'en cacher certain mais il les trouve toujours. Dès qu'ils en trouvent un nouveau je les entend murmurer derrière ma porte. Je n'entend pas ce qu'ils disent mais je sais que c'est pas bon.
Mais maintenant après que plein d'hommes en blancs m’aie fait passer plein de tests en tout genre je peux prendre des cours dans un lycée normal. C'est bien. J'aime beaucoup les cours mais les professeurs ne me traite pas comme les autres élèves. Dommage. Mais je fait avec. Malgré tout je n'est pas eu le droit de quitter définitivement la maison des hommes en blancs et là bas rien n'a changer, c'est toujours un monde dans un monde avec ses propres chef et ses propres lois.
Et d'autre personne s'énerve toujours autant sur moi et me frappe. Moi je ne dis rien et je ne fait rien, j'en suis incapable. Je suis faible.

Texte découvert dans une enveloppe collé sous le lit de Krähe Millicent.

Psychologue : raconte moi ton histoire.
Krähe Millicent : Jamais.
Psychologue : Mais pourquoi ?
Krähe Millicent : Je ne vous fait pas confiance. Tout, tout ce que je vous dit vous le rapportez au hommes en blancs ! Vous n'êtes qu'un sale traître !
Bruit de chaise renversé, cris et insulte.

Extrait d'un entretien avec Krähe Millicent.