ma rose blanche
Elle sortait ses premières pétales en même temps venait le froid
elle attendait le vent glacial et le givre recouvrant les toits
regardant sa blancheur nuptiale, je me dis comme toute chose
elle est éphémère ma rose, car demain tombera son voile.
ange
vole vole l'hirondelle de tes ailes tu t'envole,
du nuage tu sors, ange du paradis.
de tes ailes d'or, rends un ceux qui sont deux
et de ta flèche tu enflamme les petits cœurs amoureux.
Etoile de feu
dans une grotte ou règne la vie,
dans les étoiles il est partit.
dans une grotte ou règne la vie,
le clan des étoiles lui a dit:
étoile de feu tu deviendra,
car ton destin te dictera,
de régner sur tes confrères
pour que s’accomplisse le mystère.
(celui la était sur la guerre des clans pour ceux qui ne connaissent pas, désolé!^^)^
L'hiver
sur une note écarlate,
l'automne a fini son show
et il est de nouveau sur patte
l'hiver arrivé glaçant l'eau.
souviens toi du silence glacial,
qui accueilli sa mort nuptial
le jour ou la rose a tombé
enfin ses dernières pétales.
(dernier paragraphe en souvenir de ma grand mère "une minute de silence s'il vos plait")
je trouve celui la moins bien mais je le met quand même:
Rose
une rose de plus,
dans toute sa splendeur,
ses pétales argentés par la lune
aux reflets moires et argents
se mouvent dans le doux vent.
Alice
sur une note d’amitié,
des histoires encore inventés.
des discussions sur la vie
comme sur des poèmes aussi.
mais nous n'oublions pas de jouer,
et sous un platane accueillant
je me souvient d'avant
avant de vivre vraiment!
(dédié à Alice)
Arthur
sur une plaine remplie de vie,
un enfant s'est endormi.
un matou argent est là
et glisse au poète d'Emma,
les derniers vers, les derniers pas.
car l'inspiration vient souvent
quand nous dormons miraculeusement!
(dédié à Arthur)
deux petites phrases courtes mais que j'aime bien:
le soleil glisse sur l'eau,
comme un enfant sur un bateau.
Rivière de perle
Sur une rivière enneigée,
des perles de glaces se sont formées.
une petite chatte est née,
et son nom rappellera,
la neige formée se jour là!
J'ai rencontré de nouveaux amis,
elle en fait bien sur parti.
et même si elle ne peut lire ce petit poème,
Je le lui dédie sans problèmes!
(dédié à Chii qui était privé d'ordi quand je l'ai fait, faut que j'en fasse un avec ton nouveau psedo...)
Seize lunes
sur une tige d'émeraude,
des goûtes de pluie se sont formées,
sous la pâleur du crépuscule,
un doux refrain est entonné:
seize lunes, seize années,
seize de tes pires peurs,
seize songes de mes pleurs,
tombent, tombent les années...
sous la pâleur de la lune,
une fille doit choisir,
noir ou blanc sera son choix,
mais sous l'attente de la lune,
la jeune fille a tranchée,
se serra donc des deux camps
qu'elle refoulera son passé.
(vous comprendrez si vous avez lus seize lune)
souvenir du futur (et du passé)
Je me souviendrais toujours,
Quand j'ai visité la maison,
Je ne voulais pas y passer mes jours,
A quatre ans on a toujours raison.
Mais quand le printemps est venu,
La deuxième visite m'a plu,
Je revois les rosiers en fleurs
Qui restent gravés dans mon cœur.
J'ai toujours cherché des amis,
Des vrais que mon cœur a choisis,
Et quand je les ai enfin trouvés,
Il faut que je ne puisse rester.
J’ai peur qu’ils m’oublient un jour,
J’ai peur qu’ils m’oublient toujours,
Mais je sais qu’au fond de moi-même,
Ils y resteront sans problème.
Mais il faut quitter cet endroit,
Même si la ville ne me plait pas,
Je vais revoir mes amis,
Et vais partir dans la vie !
Je pense à mes souvenirs de demain,
Aux souvenirs qui serons miens,
A mes souvenirs de l’été,
A mes souvenirs du passé.
(sniff, pourquoi le déménagement existe!!)
Voila, (petite voix dans vos têtes: Enfin! j'ai cru qu'elle n’arrêterais jamais ces "poèmes" ou tout simplement vous faites une pause pic-nique avant de vous relancer dans cette torture que de lire ces lettre collés les unes a coté des autres!)
le pré de l'Asphodèle
mes pas dans ce silence,
mes pas vides de sens,
je flotte sans direction,
sans convictions.
Plus de volonté,
plus de vérité,
juste mes pas,
juste nos pas.
Armée d'âmes sans peurs,
armée d'âmes sans pleurs,
la brume s'ouvre et ils voient,
nos yeux vide d'effroi.
Notre chant entonné,
leur dit qu'il est temps,
temps pour eux de venir
rejoindre les morts-vivants,
passé aboli à jamais,
venez âmes et errez,
dans les tréfonds éternels,
plus de substance charnelle.