RP Tzuko Yan Forge et Neko

Je me relevai. Mon regard se porta tout autour de moi. Des ruines. De Tokyo, jadis la plus grande ville du monde, il ne restait que des ruines... Les survivants tels que moi vivaient dans des camps faits avec des morceaux de maisons. Mais moi, j'avais mon petit secret. Mon paradis à moi, caché quelque part dans les décombres.
Je m'avançai vers les restes d'un gratte-ciel, et je me glissai tel un chat dans un trou. Puis ce fut la chute. Je tombai, mais j'avais l'habitude. Il suffisait que je ferme les yeux quelques secondes pour me retrouver dans ce paradis qui m'était si cher.
J'ouvris les yeux après être tombé sur une mousse épaisse. J'y étais. Mon coin secret, les restes de la forêt où j'avais été élevé par ces brigands, mes bienfaiteurs.
Je ne sais pas par quel miracle la terre s'ouvrit en dessous de la forêt lors de la Catastrophe, mais cela n'avait aucune importance à mes yeux. J'étais dans cet endroit magique, si cher à mon coeur et à mes yeux. Je sortit Fromiche, ma petite souris, qui se piqua un petit roupillon sur la mousse. Mon sabre sur mes genoux au cas où, je fermai les yeux, je m'évadai dans mes souvenirs... sans apercevoir cette étrange silhouette en forme de cabane, caché par les buissons et les arbres...

Du noir......du noir......du noir...je ne savais pas ou j’étais mais je me rappelais d'une chose ces ronces qui m'avais crever les yeux et la comme un éclair dans ma tête la liaison....je ne voyais plus j'était aveugle oui aveugle..
Une forte odeur de bois,si proche,entouré de bois,mais pas n'importe quelle bois,du bois travailler a la main comme pour une maison ou un abri....Je tâta le sol et fut rassurer de savoir que mon sabre était près de moi.

Quelques année plus tard,après m'être familiarisé avec mon nouveau mode de vie et un entraînement intensif,j'étais de nouveaux capable de me battre aussi bien qu'avant...

Une odeur d'humus et de mousse me guidais à travers les décombres. La grande guerre m'avais brisé. J'avais combattu au première ligne je n'avais rien à perdre et rien à gagner...
Maintenant je suis plus qu'une ombre. Je n'est pas rejoins les camps de survivants et jamais je ne le ferais. Pendant la guerre j'ai perdu une chose même si j'étais persuadé que je n'avais plus rien à perdre. Pendant la guerre j'ai perdu mon identité. Mon prénom, Neko, est tombé dans l’oublie remplacé par le surnom qui me désignait maintenant, la Chasseresse. Pourquoi ? Parce que dans les dernière année j'avais quitté les ligne et me battais dans l'ombre, laissant derrière moi des cadavres éventré. Je chassais. C'était tous ce qui comptais à l'époque, traquer, torturer, tuer. J'ai aussi découvert à cette époque là que la chasse se déroulé mieux et plus rapidement si je n'y voyais pas. Alors j'ai arrêter d'utiliser mes yeux. Mon regard autrefois violine est devenu noir à l'image de mon cœur. Maintenant le sang est ma drogue, ma came, le seul moyen pour moi de vivre. Alors parfois j'allais dans un de ses camps enlevé une personne et quand j'avais fini mes affaires. Je leur ramené des ossements dans les bon jour ou alors une masse de chair informe et parfois encore gémissante. Mais là je ne chassais pas. Je me demander ce que cette odeur de forêt faisait ici. Une odeur que je connaissais par cœur quand j'étais encore Neko. Mais la Chasseresse elle ne sais pas pourquoi cette odeur est là et elle veut le savoir. Alors elle suis l'odeur qui fini par se mêlé à deux odeur. Deux odeurs vivante, humaine. A présent elle court, parce que la Chasseresse aimerais parfois redevenir Neko, redevenir humaine. Alors elle fonce vers cette odeur sans se rendre compte que ses vêtement son déchiré et pleins de sang. Sans se rendre compte que de terrifiante griffe d'une trentaine de centimètre perce de ses poings fermé. Sans se rendre compte que ses cheveux ébènes sont collé du sang de ses victimes. Sans se rendre compte que le bandeau noir qui couvre son orbite droite, vide lui donne un air de fantôme couplé avec son teint tellement blanc qu'il en devient quasiment transparent. Sans se rendre compte qu'elle est terrifiante et qu'elle ferais peur à un aveugle. Elle ne se rend pas compte de tout ça et peut-être que ça fait longtemps qu'elle ses oublié elle même...

Je me réveillai d'un bond. une présence, et pas n'importe laquelle. Cette énergie particulière, tout le monde la connaissait. La Chasseresse! Celle qui durant les dernières années de la Grande Guerre avait quitté l'armée pour devenir assassine! Cette Chasseresse courait dans les bois à une vitesse effroyable. Ses vêtement déchirés volaient derrière elle, et un bandeau blanc couvrait son oeil droit. Je dégainai mon sabre, de peur qu'elle vienne chercher mon âme pour soulager sa soif de sang, comme elle l'avait fait à tant d'autres. Mais à quelques dizaines de mètres, elle tourna et changea de direction. Mon soulagement fut de courte durée, lorsque j'aperçus sa destination: Une cabane en bois. Cela me dépassait: des présences, dans cette forêt?
Il fallait en avoir le coeur net. Je m'approchai prudemment de la cabane, Fromiche dans mes poches, le sabre aggripé fermement dans ma main. Cette forêt était mon secret, et je ne comptais en aucun cas le partager avec des inconnus.

Je dormais paisiblement quand j'entendit le grincement de la porte.
Je sauta soudain sur pied pret a defendre mon abri..quand la silhouette se presenta au seuil de la porte ,mon sang ne fit qu'un tour.....la chasseresse!!

Deux présence, deux jeunes hommes, deux survivant. Presque j'entendais leur pensée : La Chasseresse ! Le premier, un grand brun au regard mélancolique assis par terre, saisi son sabre quand il me vis arrivé. Mais je détourna ma course pour foncer vers la petite cabane qui était là. C'était dans cette cabane que se trouvais la deuxième présence. J'en fis le tour, mes griffes frottant par intermittence le bois provoquant un agréable grattement et faisant tomber quelque copeaux de bois. Puis enfin la porte s'ouvrit sur un jeune homme plus petit que l'autre mais battit de la même façon. Celui là était roux et avais les yeux crevé. Si il était venu me voir ça aurais était fait dans les règle de l'art mais je pense que la cause fut naturelle.
Je vis que celui-ci était armé aussi et un vilain sourire éclaira mon visage. Les deux me connaissais je ne pensais pas que mes actes étaient si connu mais c'est vrai que j'avais fait des ravage dans les camps. Mais cette fois je ne voulais pas tuer. J'avais abreuvé ma soif de sang la veille ou l'avant-veille à moins que ça ne sois il y a trois jours. Je ne tenez plus le compte du temps qui passe. L'autre, celui que j'avais croisé en premier, s'approchait de moi par derrière. Peut-être voulait-il m'abattre rapidement, pour se venger de lui avoir pris une personne chère ou peut-être tout simplement être couvert de gloire pour avoir enfin abattu la Chasseresse, l'ombre solitaire qui hante la nuit des hommes.
Mais elle n'était pas venu pour se battre, elle voulait juste redevenir humaine juste quelque instants quitter la folie qui la dévorait. Redevenir Neko. Elle recula d'un bon et renversa la tête en arrière tandis que sa gorge s'ouvrait dans un rire obscène. Puis son rire s'arrêta aussi soudainement qu'il était venu et elle les fixa de son œil noir celui que l'on ne lui avait pas arraché dans l'espoir que ses actes s'arrêterait en l'absence de ses yeux.

J'étais devant la porte, et la Chasseresse venait de pousser un cri effrayant. Je ne voulas pas la tuer, et je ne voulais pas en venir à la violence. Je me contentai de demander d'une voix ferme, malgré un tremblement à peine perceptible dans ma voix:
) Que faites vous ici, dans mon repaire?

Je ne sais pas a quoi ressemblait cette chasseresse mais je sentais le sang vieux qui bornait un de ses deux yeux,puis j'entendit la voix d'un jeune homme plus grand que moi je ne voyais pas mais cela ne m'empêchait d'humer mieux que personne l'air de cette foret dont je connais les odeurs comme ma poche.
Je ne savait que faire mais ayant perdu le sens de la vue je me résolu a attendre.

Aucun des deux ne bougea, le grand brun me demanda ce que je faisais ici, j'aurais bien voulu répondre mais la Chasseresse à perdu depuis longtemps la parole. La chasseresse ne parle pas, la Chasseresse grogne, tue, torture, mutile, mais ne parle pas. Elle ne pourras jamais exprimé ce qu'elle est au fond d'elle, qu'elle ne s'appelle pas la Chasseresse mais Neko, ça personne ne le saura jamais. Sauf si la Chasseresse redeviens Neko, sauf si la Chasseresse redevient humaine.

Au son de cette voix, je ne sais pas ce qui ses passé en moi mais la Chasseresse à disparu d'un coup comme ça. Plus rien, plus d’envie de sang, plus d’envie de tuer. Juste Neko. Juste l'humaine. Juste moi. J'ouvris les points et mes griffes disparurent, je retiras mon bandeau qui me gêné et exposa mon orbite vide sans vraiment ressentir quelque chose. Puis ce fut le noir, le noir total. Seulement précédé par un bruit sourd, le bruit de mon corps s'effondrant sur le sol.

Tzuko se rapprocha de la Chasseresse:
"Gr...grande soeur!"
Il reconnut le visage de celle qui l'avait aidé dans un manoir hanté. IL l'enveloppa dans une grande couverture, les yeux enbués de larmes.
- Qu'est ce qui s'est passé...

La tension qui régnait s'effondra tout a coup en tristesse,je ne voyais peut être rien mais j'étais capable de sentir dans sa voix qu'il était ému,il faisait référence a un moment dans le passé qu'il avait du passé ensemble et j'avais l'impression d'être en trop.
Je me leva calmement et me dirigea vers la sortie...

J'étais dans le noir total, je ne voyais rien, n'entendais rien, ne ressentais rien. J'étais vide de sensation et de sentiment. Je me levais difficilement et regardas autours de moi. Rien uniquement du noir. Alors je me mis à avancer et c'est là que je la vis.
Une cage sombre, une prison gigantesque. Et recroquevillé dans un coin je vois la Chasseresse. Mais elle n'est pas méchante au fond. Elle est juste malheureuse.
Alors j’entrouvre la cage et je rentre dedans, je m'en approche, je m'approche de cette personnalité qui d'habitude me fait si peur. Mais là, elle est si misérable.
Puis au fur et à mesure que j'avance, elle relève la tête. Elle a un regard si triste, si profond.
En fait elle veut juste s'exprimer mais jamais personne ne la comprise. En fait on est pareille elle et moi. Deux enfants perdu dans un monde qui ne les accueille pas mais les repousse.
Alors je la prend et je la serre contre moi, je la serre fort et je pleure et je m'excuse aussi. Je m'excuse de l'avoir laisser seule, de ne pas avoir chercher à la comprendre.
Je sens qu'elle se raccroche à moi, elle m'a enfin trouvé, sa compagne, sa compagne dans l'horreur du monde et de la vie.

Neko n'a pas bouger d'un millimètre mais des larmes un flot de larmes coule sur ses joues et elle gémit. Elle gémit des chose incompréhensible. On dirait qu'elle s'excuse.

Ma soeur commençait à gémir et je ne remarquai même pas la sortie du garçon roux qui se trouvait pourtant sur mon lieu de vie...
J'allongai ma soeeur, et pour la soulager, je l'allongeai sur ce qui semblait être un lit, et posa une compresse froide et humide sur le front, dans l'espoir qu'ellle reprenne conscience le plus vite possible. Les minutes passèrent, et j'attendais une réponse, la main sur mon sabre.

Je sortis en douce ravis que le jeune homme ne fasse aucun commentaire.
Je m'en sortait plutôt pas mal,je n'avais plus qu'a partir et a les laisser tranquille avec leur histoire de famille.
Voila que j'avais enfin un peu de temps,je pris un morceau de bois sec et me mis a écrire...
J'écrivais ou plutôt je dessinais des lettres et des images,ma famille de mes ancien amis et le temps passait doucement aussi doucement que d'habitude...

Si malheureuse, elle était si malheureuse. Je vais la sauver, je vais la sortir de cette cage, je vais l'aider a s'exprimer. Je vais le sortir de là. Je m'excusais encore et toujours, je savais que ça ne serais jamais assez, que jamais je ne m'excuserais jamais assez pour tout ce que je lui est fait. Elle a tellement souffert et elle souffre encore. Alors je la prend contre moi et je la soulève. Je la sort de cette prison, je la libère. Dès que je mis un pied dehors une douleurs horrible me mangea le côté gauche de mon corps et...

Et j'ouvris les yeux, enfin elle ouvris son œil. J'étais fatigué et vidé de toute force elle était pleine de puissance et d'énergie. Je compris bien vite se qui c'était passer là-bas dans la cage. Elle était passer en moi, on partager le même corps, en même temps maintenant. J'avais garder le contrôle général mais pour combien de temps ?
Car je le sentait, là au creux de ma poitrine, je le sentait son désir de vengeance...

La Chasseresse se relevait. J'étais en train de mettre une compresse dans de l'eau. J'entendis alors des gémissements. La main de ma "soeur" se dirigeait vers un couteau/,
Je ne savais pas ce qui se passait, mais il y avait quelque chose de différent de la première fois ou je l'avais rencontrée, dans ce vieux manoir...

J'étais assis presque endormi et sans réfléchir je dessinait le jeune homme que j'avais vu tout à l'heure quand une tache de sang tomba de nulle part et vint se poser avec délicatesse sur le corps de mon dessin.
Je reconnu avec horreur le signe que les Dieux m'avais envoyé et me précipita en direction de la cabane.

Je releva les main et les regarda attentivement. Je ne les reconnaissais pas.
Elles étaient salle, abîmé, couverte de sang. Tout mon corps était couvert de sang.
Assis à mon côté un jeune homme. Je le connaissais. Je percevais son odeur qui m'était familière malgré la lourdeur des effluve de sang caillé.
Ce garçons je l'avais déjà vu. Je l'avais connu personnellement. Très bien connu. Mais où, mais comment ?
Je ne savais pas. J'avais perdu mes souvenir dans ma folie.

Se venger, se venger, se venger. Voici la seule pensée qui traversais l'esprit de la Chasseresse. Maintenant elle pouvais parler. Parler à travers la bouche de son double.
La Chasseresse voyait le jeune homme assis en face d'elle. Ce serais lui. Ce serais la première victime de sa terrible vengeance. Elle voulais qu'il tremble, qu'il est peur d'elle.
Son visage se fendit en un affreux sourire. Un sourire uniquement habité par la folie et la vengeance. La Chasseresse devient pareille à Hécate, déesse déchu de la nuit en perpétuelle recherche de vengeance. Sa main gauche se dirigea lentement vers un couteau qui reposait à quelque centimètre de là.

Non, non, non je ne voulais pas qu'il meure, je ne le voulais pas, pas lui. Je ne savais plus qui il était mais je me sentait lié à lui. Lié par un lien presque fraternel. J'allais gagné cette première bataille. Oui j'allais la gagné. Je fis tout ce que je pus pour l'empêcher. L'empêcher de saisir ce couteau. La Chasseresse se cabrais, grognais. Mon bras gauche fus saisi de tremblement. Deux esprit pour un seul corps c'est beaucoup trop. Je prenais conscience à l'instant de ma bêtise.

Je regardai avec horreur le corps de ma "Soeur" ou ce qu'il en restait. Son corps était convulsé de spasmes, et je voyais qu'un combat intérieur se déroulait au moment même. Mais cette femme, cette femme à deux visages,n'était pas ma soeur, ou pas entièrement. C'était devenu la "Chasseresse"; âme vengeresse qui nuit après nuit semait la terreur parmi les soldats de la Grande Guerre... la Grande Guerrre... la partie de ma vie la plus douloureuse. La séparation entre moi, ma soeur et les brigands. Cette guerre dont je ne connaissais même pas l'origine avait marqué un virage dangereux. Un virage que j'ai pris inconsciemment sans me rendre compte du danger. Et là, je découvrais que la Chasseresse, ou Neko, je ne savais pas qui contrôlait ce corps sanglant, ré apparaissait devant moi. Je ne savais pas si c'était une chance inespérée ou un malheur extrême, mais il ne fallait pas que le couteau soit entre ses mains.

Je pris le couteau, résolu à ne pas laisser la partie "Chasseresse prendre le dessus. J'aperçus alors le jeune homme roux de toute à l'heure courir comme un fou...

Je courais a travers les branches et les arbres,affolé,je ne savais plus quoi penser de ce qu'il fallait que je fasse quand j'y serai....et si je n'arrivais pas a temps,non ça ne peux pas se passer je pris donc mon courage a deux main et redoubla de vitesse,je devais arriver a temps...
Les branches me fouettaient la figure et faisaient gicler le sang de mon visage, je ne pouvais pas le laisser mourir.
Si cette prophétie disait vrai le jeune homme serai en danger car il ne serai pas au courant que la chasseresse aller lui ôter la vie,sûrement de la manière la plus sanglante.
J'arrivai enfin haletant devant la prochaine victime de la chasseresse.

Un violent combat se déroulé dans mon esprit. Ce n'était pas du tout agréable de sentir deux entité si différente et pourtant si proche se battre pour un corps. J'avais gagné la première manches mais la Chasseresse était à l'affut de la moindre occasion, de la moindre faiblesse.
Le garçons au yeux crevé se plaça entre moi et l'autre garçons dans un mouvement protecteur. J'étais étonné de sa réaction je ne savais même pas qui ils étaient. Si ça se trouve je les avais connu mais la guerre a effacé tout les bon moment de ma mémoire. Seul subsiste la souffrance, la haine et la tristesse.
Je restais immobile à les observer et je voyais clairement la peur dans leur yeux. Le peur de la créature que j'étais devenu. Cette découverte m'attrista au plus haut point. Ça me faisais mal.

Je voyais à mon grand mécontement l'homme aux cheveux roux s'interposer entre moi et ma soeur. Je serrai les dents et sifflai d'une voix étrangement méchante:
-Dégage, c'est une affaire qui te regarde pas.

J'étais triste de voir ce que ma soeur était devenu à ce point une assoiffée de sang. Celle qui fut jadis Neko devint la "Chasseresse". Il devait bien y avoir moyen de la faire redevenir normale, mais comment? Je contins mon énervement lorsque je vis que l'homme aux cheveux roux n'avait pas bougé.

-T'es déja aveugle, j'imagine que t'as pas envie de venir manchot? Dégage

-Dégage,c'est une affaire qui ne te regarde pas .
Ces paroles me surprirent,je vous l'aider,l'empêcher de mourir,tué comme bien d'autres par la chasseresse dans le corps d'une jeune fille appelée Neko.
Je ne supportais pas que l'on me parle sur se ton et ne broncha pas,je ne bougea pas d'un poil.
Je le regardais fixement d'un air de dire tu veux vraiment mourir puis il prononça les paroles qu'il n'aurait pas dû prononcer :
-T'es déjà aveugle,j'imagine que t'a pas envie de devenir manchot?Dégage
C'était de trop,je serra le poing,je sortis mon sabre et dit :
-Je ne voulais pas en venir là mais il y a des limite alors tu sais ce qu'il te dit l'aveugle... je marqua une courte pause pour reprendre mon souffle...
-Non!
Je me retenu de ne pas lui sauter a la gorge et dit :
-Il te dit que si tu tiens pas a la vie je me ferai le plaisir de te tuer à la place de la chasseresse

J'observais les deux garçons se disputer. En tant d'année d'absence les hommes n'avaient vraiment pas changé...Toujours les même, toujours incapable de se mettre d'accord sans rentrer en conflit...
Puis on se mit à parler de moi. Mais ils parlaient comme si je n'étais pas là. Ils ne parlaient pas de moi mais de la Chasseresse. J'avais donc définitivement disparu. Mon prénom et mon identité étaient mort. Pour toujours.
Je n'existais même plus pour eux en ce moment. Comment, comment ils osaient dire qu'il serait ma première victime. Elle n'était pas venu pour tuer. Elle était venu pour redevenir moi. Juste pour sortir de sa folie quelque heures, quelque jour peut-être. Mais eux, eux ils la traîtaient et parlaient d'elle (et de moi par extension) comme si c'était une vulgaire criminelle à supprimé à tout pris. Personne ne sais et personne ne pouvais savoir pourquoi j'étais devenu elle et j'emporterais ce secret dans ma tombe. Car personne, personne ne devait savoir.
Elle ou moi ou les deux se mirent à grogner. On ne voulait pas être ignoré. On avait le droit à notre avis dans cette discussion. Et on le donneras coûte que coûte quitte à devoir tuer ou y laisser la vie. Quand nous ouvrîmes la bouches pour parler et que ma voix s'éleva presque manaçante dans l'obscurité je ne la reconnu d'abord pas tellement elle avait changé et tellement ça faisait longtemps que je ne l'avais pas entendu. J'avais une voix d'outretombe, comme la voix d'un fantôme du passé s'exprimant à travers un medium. Oui voilà ce que j'étais devenu un fantôme du passé.
Ce fut moi qui parla. La Chasseresse me laissa la parole et je pu m'exprimé presque librement. Mes griffes étincelaient entre mes doigts par intermittence.

-Vous ne savez pas. Vous ne savez rien. Je vous interdit qui que vous soyez de parler d'elle. Vous ne savez pas. Elle souffre trop et vous, vous vous contentez de vous disputer sur des sujet futile ou de savoir qui sera sa prochaine victime. Vous me dégoûtez...

J'avais prononcer ses mots d'un ton qui c'était fait dédaigneux et dans mon regard brillait clairement le dégoût que j'exprimais à travers mes paroles.

Neko, ou la Chaseresse, je ne savais pas, prit la parole, d'une voix menaçante. Si longtemps, que je n'avas pas entendu cette voix, cette voix qui était celle de ma soeur.
-Vous ne savez pas. Vous ne savez rien. Je vous interdis qui que vous soyez de parler d'elle. Vous ne savez pas. Elle souffre trop et vous, vous vous contentez de vous disputer sur des sujets futiles ou savoir qui sera la prochaine victime. Vous me dégo^utez.

Ses paroles me laissèrent sans voix. Il était évident qu'il y avait quelque qui m'échappait, quelque chose que je n'arrivais pas à saisir. Un dernier regard de défi dans les yeux, je m'éloignai du jeune homme aveugle et m'apporchai de ma soeur sans rien dire, si ce n'est
- Neko?